Kim Kardashian West a présenté son tout nouveau projet, Kimono, une gamme de lingerie de maintien qu’elle développe depuis une année.
Pour autant, cette gamme n’a rien à voir avec les tenues traditionnelles japonaises du même nom… au contraire… Bad Buzz ? Presque !
Une ligne body positive
Cette nouvelle marque propose des sous-vêtements de maintien adaptés à toutes les tailles et toutes les couleurs de peau.
Elle a posté des images de ses premiers articles sur Instagram, présentant des culottes, des brassières, des combinaisons et des shorts asymétriques dans différentes teintes nudes.
“En proposant de vraies solutions dans neuf teintes et des tailles XXS à 4XL, Kimono Solutionwear célèbre et met en valeur les formes et les courbes des femmes”, a légendé la star. “Chaque pièce a été conçue avec du tissu doux mais gainant pour offrir le plus de confiance en soi.”
“J’ai toujours dû découper mes gaines pour créer mes propres styles, et j’ai souvent cherché des sous-vêtements de maintien assortis à ma couleur de peau”, a commenté Kim Kardashian auprès de ses 142 millions de followers, pour expliquer cette nouvelle marque. Elle a aussi expliqué que certaines pièces, comme les shorts asymétriques, étaient nées de sa propre expérience, ne trouvant pas de lingerie de maintien adaptée à une robe ou une jupe fendue sur le côté par exemple.
Cette gamme, qui devrait bientôt être commercialisée, fait suite à son dernier grand lancement beauté, une nouvelle gamme de fond de teint pour le corps via sa marque KKW Beauty brand.
Un nom qui fait scandale
Hélas, si l’initiative peut être saluée, Kim a une fois de plus fait le buzz en choisissant le nom de sa marque. Si la star y a vu une amusante ressemblance avec son patronyme, cela n’a pas fait rire du tout la communauté asiatique qui y voit une très mauvaise plaisanterie. Le terme de “kimono” est en effet associé à la tradition, puisque c’est un vêtement qui se transmet de génération en génération. L’impitoyable compte Instagram @DietPrada a aussitôt créé le hashtag #KimOhNo afin de permettre aux personnes révoltées par ce coup marketing de pouvoir s’exprimer sur les réseaux sociaux.