Les barbes à paillettes ? Ça, c’était en 2016. Cette année, les paillettes s’attaquent à nos parties intimes. Pour le meilleur et surtout pour le pire.

On le sait, chaque semaine voit naître de nouvelles lubies, tous domaines confondus. Parmi les plus douteuses de l’été – voire de la décennie – l’idée pour le moins farfelue de la société américaine Pretty Woman de lancer un produit baptisé « Passion Dust Intimacy Capsules « , soit des capsules de paillettes à introduire dans son vagin une heure avant un rapport sexuel. La promesse ? « Un vagin doux, sucré et magique » (on cherche encore la magie, la dedans) dans le meilleur des cas, mais surtout un florilège de soucis gynécos à la clé.

Le Dr. Vanessa McKay, gynécologue britannique, a en effet expliqué aux journalistes de The Independant que tout corps étranger introduit à l’intérieur du vagin risquait de mettre à mal l’équilibre – déjà très fragile – de la flore microbienne, risquant d’engendrer différentes infections et inflammation, pouvant aller jusqu’à la vaginose bactérienne (une infection de la vulve).

Si le risque est réel, il ne semble pas dissuader les Américaines : le produit est en rupture de stock